jeudi 26 novembre 2009

Fruits d'automne

Un automne en couleurs? Les feuilles ne sont pas les seules à faire le spectacle. Des arbres, des arbustes, des vivaces produisent à cette époque des fruits, des baies ou des graines très colorées. Il faut parfois vite les admirer avant que les oiseaux ne s'en régalent.

Voici des arilles de fusains (Euonymus) ci-dessus et ci-dessous



Les 2 photos suivantes feront l'objet d'une devinette: à vous de trouver!






Geneviève


Fruits d'automne (suite)

L'arbre aux faisans ou Leycesteria produit de jolies grappes de baies au goût de caramel. Son surnom n'est pas usurpé. J'ai vu des faisans près de mon Leycesteria

Baies de la viorne obier (Viburnum opulus)


Fruits du savonnier (Koelreuteria paniculata)


Véritable bijou produit par Clerodendron fargesii

Plus classique, cynorrhodons du rosier
rugosa




Geneviève




dimanche 22 novembre 2009

La recette des madeleines.....


Recette demandée par certaines d'entre-vous, lors du délicieux goûter chez Dorothée..
Préchauffer le four sur thermostat 8 (240 °). Dans une terrine, tamiser 200g de farine avec 1 c à c de levure chimique et une pincée de sel. Mélanger avec 200g de sucre.Creuser un puits, casser 3 gros œufs au centre et mélanger .
Beurrer les alvéoles de la plaque à madeleines.Incorporer dans la pâte 100 g de beurre fondu ( micro-ondes ) ainsi qu'une cuillère à soupe d'eau de fleur d'oranger.
Laisser reposer 30mn au frais.
Remplir les alvéoles au trois quarts ( plutôt moins que plus ), les mettre au four et laisser cuire pendant 6 à 8 mn. ( La seule difficulté se trouve ici ! on doit les surveiller ! )
Démouler les madeleines sur une grille dès la sortie du four.
Et régalez-vous !!! Régine

vendredi 20 novembre 2009

Visite du musée de la Nacre à Méru...








Abrité dans une ancienne usine du 19ème siècle,le Musée de la Nacre et de la Tabletterie de Méru(Oise) s'efforce de conserver et de mettre en scène un artisanat local autrefois florissant et en passe de disparaître.
Les métiers de boutonnier et de tabletier, porteurs d'une tradition multiséculaire du travail de la nacre et de matières semi-précieuses (corne, écaille, ivoire, os, bois exotiques, etc..)sont exposés par les guides démonstrateurs. Pas à pas, on découvre avec eux la fabrication d'un bouton de nacre dans un atelier de boutonnier, fidèlement reconstitué et activé par une machine à vapeur. On peut admirer, dans les salles d'exposition, de superbes pièces de collection tels que : éventails et objets de tabletterie ( couverts, jumelles, objets de culte, dominos, etc.. )présentés dans des meubles de découverte ludiques. Diorama,diaporama et boutique complètent astucieusement la visite.

Visite du musée de la Nacre à Méru...(suite)





Présentation des différents coquillages utilisés
.



Là, c'est une exposition d'éventails, tous plus beaux les uns que les autres !




Magnifique réalisation : une œuvre d'art !





Au rez de chaussée, notre guide nous a même fait fonctionner les machines et nous avons pu imaginer aisément la complexité et pénibilité de ce travail !



Sur la photo ci-dessus, c'est un jardin comme aucune d'entre-nous n'en a un !! c'est un parterre de brisures de coquillages !!


Hier, Jeudi 19 novembre,nous étions une vingtaine d'adhérents, à participer à la sortie organisée par Dorothée : visite du musée de la Nacre à Méru.Nous avions un guide et nous avons beaucoup apprécié cette visite: je vous recommande cette sortie, qui de plus, peut beaucoup intéresser les enfants ou.. petits-enfants !Régine

Si vous désirez voir toutes les photos que Jean-Pierre ( le mari de Maïté ) a faites au musée, cliquez sur le lien ci-dessous.

http://picasaweb.google.fr/lh/sredir?uname=padezjp&target=ALBUM&id=5406144107149516001&authkey=Gv1sRgCOeI8bXHtfa-owE&invite=CKva7J8N&feat=email

Connaissez-vous "le langage" des éventails ?





Lors de notre visite au musée de la Nacre, nous avons pu apprendre "le langage" des éventails ! Je vous propose quelques photos, qui, si vous cliquez dessus, vous permettrons de l'apprendre aussi !! Régine

lundi 16 novembre 2009

Pour Jackie

En réponse à l'interrogation de Jackie , de retour de Naples , j'ai trouvé par hasard le nom de ce petit arbre originaire d'Amérique du sud. Il s'agit d'Erythrina coralloïdes ( ou crista-galli ) , surnommé arbre corail ou crête de coq. Sa floraison esr vraiment spectaculaire.

Photographies prises dans un jardin botanique en Allemagne
Les plantes sont mises en serre pendant l'hiver
Geneviève

vendredi 13 novembre 2009

Couleurs d'automne dans les vignes

Catherine nous envoie de jolies photographies prises dans la région des hautes côtes de Nuits St. Georges , en Bourgogne. Un grand cru magnifiquement entretenu et quelles couleurs!

Contraste des feuilles pourpres et de l'argenté des érodiums:


Des coings et des vignes:


Merci Catherine!
Chacun peut nous envoyer de jolies photographies. Nous les publierons .
Geneviève


mardi 10 novembre 2009

Vente au profit de la Fondation Lejeune

Vendredi 20 novembre , de 9h à 19h , vente au profit de la Fondation Jérôme Lejeune
Château de Mont l'Evêque
6 rue de Meaux
(à 3 km de Senlis)
Cadeaux de Noël , mariage ou naissance , brocante , déco , linge de maison brodé à la demande , bijoux fantaisie , bagages , jardin , déguisements , gourmandises...
La Fondation Lejeune oeuvre inlassablement au profit des personnes atteintes de Trisomie 21 et de leurs familles (accueil , soins , recherche médicale etc...)
Contacts : 06 10 05 47 86
03 44 54 23 23
03 44 54 25 16

lundi 9 novembre 2009

Crumble aux coings....

Cette délicieuse recette a été goûtée chez Martine Camus lors du dernier atelier-cuisine. Elle nous est proposée par Patricia Puype . Régine

Pour bien pouvoir la lire, cliquer sur la photo...

samedi 7 novembre 2009

Jeudi 19 novembre 2009
Visite du

Musée de la Nacre à Méru

Inscriptions : Dorothée Braun : tél: voir sur le dernier bulletin

RDV: 14 h 15 : sur le parking devant le musée de la Nacre - 51 rue Roger Salengro, 60110 Méru

Prix : €6 Visite guidée à 14h30 suivie d’une visite libre.

L’après-midi se terminera avec un goûter chez Dorothée Braun.

De la matière brute (nacre, os, ébène) à l’objet fini (monture d’éventail, dominos, boutons), le tabletier effectue un nombre considérable d’opérations de fabrication délicates à exécuter et nécessitant une grande habileté.

La visite du musée permet de découvrir les différentes étapes de la fabrication de dominos et de boutons, ainsi que les nombreuses pièces de collection et les matières premières.

Ces objets constituent un véritable patrimoine qui témoigne du savoir-faire des tabletiers mais aussi d’une époque où le luxe résidait dans l’emploi de matières naturelles et dans la finesse de leur transformation.

Ce musée, ouvert en 1999, a été conçu en tirant parti des dernières évolutions de la muséographie moderne et dans un souci de sensibilisation aux savoir-faire tabletiers. Ainsi, tous les ateliers fonctionnent et des démonstrations sont effectuées à chaque visite... Le musée est également vivant par la présence de son imposante machine à vapeur toujours animée.

Neil

Exposition de broderies à Compiègne...





Bonjour à toutes

Vite c'est ce week-end.

Etant sur Compiègne hier , j'ai remarqué une petite affiche concernant une expo de broderie.
Première expo et les fonds iront pour aider au fonctionnement d'une maison pour malades d'alzheimer à Compiègne.


J'y suis allée, bien évidemment , j'ai trouvé des choses trés intéressantes ,bien sûr!!!!

pour les amateurs de broderie, beaucoup de créateurs ( broderie au ruban...! merveille.!
hardanger , point de Bayeux , tapisserie à l'aiguille ( j'aime moins...!)
Donc on peut y trouver kits , tissus, accessoires, rubans , enfin tout plein de choses

cela vaut le détour, facile pour y aller, pas cher, 2 euros,
mais moins complet que le salon créations et savoir faire de Paris à la fin du mois

Bon week-end à toutes.
Myriam

mardi 3 novembre 2009

Lors de la visite PJO le 15 septembre 2009 du jardin du château de Breuil le Sec le responsable du jardin nous a gentiment laissé emporter quelques potirons. Nous venons de déguster le nôtre transformé en tarte. J’ai déjà donné notre recette dans un bulletin de la section de Beauvais.




C’est une recette américaine délicieuse et comme c’est de nouveau la saison des potirons je vous la donne de nouveau :






TARTE AU POTIRON

2 tasses de potiron cuit (cuit dans très peu d’eau)

1 tasse de lait

1 tasse de crème légère

1/2 tasse de sucre de canne très foncé

1/2 tasse de sucre blanc

1/2 cuillerée à café de cannelle moulue

1/4 cuillerée à café de sel

1/2 cuillerée à café de noix de muscade râpé

1 cuillerée à soupe de farine

2 oeufs battus

1 pâte feuilletée ou brisée


Préchauffer le four à 230°.

Poser la pâte dans un moule, foncer les bords et piquer le fond avec une fourchette.

Bien mélanger au fouet tous les ingrédients et verser sur la pâte.

Mettre la tarte dans le four.

Après 10 minutes réduire la température à 165° et laisser cuire pendant encore 50 minutes.


Pour vérifier que la tarte est cuite, y insérer un couteau sec et propre puis le retirer. Si rien ne s’attache au couteau, la tarte est cuite.

Neil Price

dimanche 1 novembre 2009

Saint Georges de Boscherville et le son de ses cloches à midi lors de la visite PJO du 22 octobre 2009.

La fonction religieuse du site remonte à la fin du 1er siècle avant J.-C. : un premier temple en bois de tradition gauloise («fanum») est construit sur les coteaux de Boscherville. Ce temple est agrandi, reconstruit, puis abandonné au cours du 4ème siècle. Au 7ème siècle les ruines sont converties en chapelle funéraire chrétienne.

L'église abbatiale de style roman qui domine aujourd'hui le site fut édifiée de 1113 à 1140 par des moines bénédictins originaires de Saint dernier quart du 12ème siècle et témoigne du passage de l'art roman à l'art gothique. Les 13ème et 14ème siècles correspondent aux années les plus prospères de l'abbaye. Mais la Guerre de Cent ans causera sa ruine, qui perdurera jusqu'à l'arrivée des moines mauristes en 1659. Ces derniers prennent en charge l'entretien du domaine, assurent la restauration de l'abbaye et construisent, de 1690 à 1694, un imposant bâtiment monastique de style classique, attenant à l'église. La partie qui en subsiste, restaurée et ouverte au public, permet cependant d'estimer la grandeur de la construction originale. Les moines mauristes sont aussi à l'origine des jardins « à la française » aménagés à partir de 1680. En 1790, l'abbaye est supprimée par décret révolutionnaire.

Hormis l'église et la salle du chapitre qui sont rachetées respectivement par la commune et le département de la Seine-Inférieure, tous les autres bâtiments et les terrains sont vendus à un industriel rouennais, puis finalement convertis en exploitation agricole jusqu'en 1987. Des fouilles archéologiques effectuées en 1992, complétées de recherches historiques, révèlent l'ampleur et l'importance des jardins crées par les moines mauristes.

Le projet de restitution des jardins du 17ème siècle est lancé. Les composantes minérales, les parterres et bosquets, le verger et le potager sont aujourd'hui restaurés.

Cliquez sur la flèche > ci-dessous pour voir et entendre.
Neil Price